Le sorbier des oiseaux pleureur, sorbus aucuparia "pendula" pour les puristes, planté dans
ma cour, reçoit en ce moment la visite d'amis ailés. Les baies restantes attirent les merles.
La mésange perchée sur ses branches fait plutôt de l'observation.

Comme prévu, d'autres oiseaux vont venir nous visiter. L'automne qui dépouille les arbres
nous permet de mieux les observer.

De Yellowstone à Salt Lake City.

Partant de la lave en fusion, on remarquera, si on regarde, le nom du bistrot à Salt Lake City.

Cet après midi là, très beau temps et soleil bien présent. Au cours de la balade de presque
huit kilomètres nous avons croisés différents insectes qui paraissaient très occupés.

Tout d'abord un papillon avec une aile endommagée.

Un insecte très vif qui à chaque arrêt se mettait "en garde"

Un grillon timide et pas bien nerveux.

Une chenille toute hérissée et bien décidée à nous couper la route.

Et enfin une fourmillière, bruissante d'activités.

Notre circuit passe bien au dessus de la carrière d'où l'on peut voir à l'horizon la Croix de
Lorraine et le Mémorial de Colombey les Deux Eglises distants d'environ vingt sept
kilomètres à "vol d'oiseau".
Pour la petite histoire le village a perdu sa deuxième église après la vente comme bien
national du Prieuré où elle était située.

A cette époque de l'année il y a profusion de baies qui feront sans aucun doute le régal
des oiseaux. Il reste aussi quelques fleurs.

Deux jours de gelée matinale et le puit a perdu ses parures.

Q NU m'a permis de vous présenter sa mini collection d'æufs.

Il s'agit d'æufs d'autruche, d'oie, de poule mais difforme,de poulette et de paon.

Parc de Yellowstone( suite)

Il faut juste regarder!

Mercredi dernier, grande balade à pied avec Fée du logis. Un tracteur qui labourait un champ
de la Croix Blanche attira nos regards et nos pas. C'était l'ami "RIVEL" qui s'affairait.

Nous l'avons attendu au bout du champ.

La charrue de type "BRABANT" se releva et pivota sur elle-même pour repartir dans l'autre sens.

Notre ami vint nous entretenir de son ouvrage: il préparait le champ pour semer des pois l'an prochain,
cette année il y avait du blé mais le labour va nettoyer la terre et il faudra moins de traitements.
Le temps qu'il faisait y eu droit aussi, de même que la chasse, puis il fallu bien continuer.

A l'attaque de la charrue dans la terre le moteur fuma en ajustant sa puissance puis pris son régime.
Le sol brillant étala ses reflets et une odeur forte diffusa car la terre que l'on travaille "sent bon".
La prochaine récolte est en marche...

Pendant que le toutou nommé Oscar nous fait une coquetterie...

Les génisses de JM se bousculent pour paraître. Il faut dire qu'elles me connaissent car je les
ai approvisionnées en divers produits du jardin pendant la bonne saison.

De toutes façons tout ce petit monde va se retrouver sur "la toile".

En fin de matinée sur la place, dans la rivière un héron s'affichait, j'ai réussi a tromper sa vigilance
et à le mettre "en boite" malgré ses efforts pour se camoufler.

Sûr de sa cachette le pêcheur infatigable s'est discrètement dérobé.