Voici un groupe de chasseurs ayant réussi une belle chasse aux sangliers à la lance pendant l'occupation allemande du siècle dernier.

Il fallait mettre au ferme dans sa bauge l'animal repéré à l'aide d'un chien aboyeur pas trop mordant de telle sorte que le sanglier ne s'éclipse pas. Un chasseur courageux s'approchait à "bon vent" son épieu tenu fermement à deux mains. Immanquablement l'animal chargeait l'impudent, la lance déviait sur le groin et pénétrait dans l'encolure jusqu'au cœur, le sanglier était foudroyé. C'était une chasse alimentaire. Les temps étaient durs à l'époque car toutes les récoltes et animaux étaient réquisitionnés par l'occupant.

Deux animaux ont été capturés. On peut voir la détermination des chasseurs accroupis qui brandissent chacun un couteau.

De gauche à droite, accroupi: oncle Denis(1),debout: son frère Lucien(4) qui est devenu mon Beau père car j'ai épousé une de ses filles (Fée du logis).

J'ai eu droit maintes fois au récit détaillé de ces exploits au cours de retrouvailles et repas familiaux.

De ce groupe de jeunes hommes habitants Donnemarie (Haute-Marne),qui défiaient l'occupant :la chasse étant interdite, il ne reste qu'un survivant.

Alors que cette saison c'est bien installée les grues cendrées commencent leur migration.

Les crapauds minuscules cherchent un refuge pour l'hiver.

Un grand cerf m'observe avec une très grande méfiance dans la clarté du matin.

Une des biches qui l'accompagne se dérobe à mon regard.

Une harde de sangliers, sa quête nocturne de nourriture terminée, croise mon chemin sous la conduite de la laie dominante.

Le mâle fermant la colonne.

Nos dernières roses s'épanouissent avant que les gelées prochaines ne les brûlent.

La saison des champignons bat son plein.

C'est aussi le tir des cerfs au brame depuis les miradors pour les chasseurs fortunés dans la forêt domaniale d'Arc-Chateauvillain.

Chacun appréciera!

La transparence de cette truitelle de l'année est surprenante!

La rivière Aujon reçoit continuellement la visite de hérons. Demoiselle Truitelle devra se montrer très méfiante pour leur échapper.

Qui se souvient du geste Auguste du semeur?

Le Bébert semant un des champs du Nanard.

Début juillet de cette année ces insectes ce sont beaucoup montrés pour cause de période de reproduction.

Voici un spécimen mâle de belle taille et bien armé!

Et maintenant une compagne espérée!

Y a-t-il eu rencontre?

FECAMP

DEAUVILLE

Pont de NORMANDIE

HONFLEUR

LE HAVRE

Merci de votre visite!

Chevaux ...

Cavalières et cavaliers...

Bel attelage!

Il est bien connu que des Insulaires n'attachent jamais leurs chevaux aux arbres...

Dédié à Odéliane qui a "raccroché" mais qui a transmis le virus à sa nièce de huit ans!!!

Après un mois de juillet passé en compagnie de nos deux petits enfants âgés de cinq et huit ans... sans prendre le temps de souffler un instant, départ pour Etretat afin de profiter d'une semaine de répit.

Ce petit bourg nous a servi de camp de base pour nos pérégrinations dans la région.

Regard sur les maisons typiques avant d'aller voir la falaise, objet de notre venue.

Les Halles.

La plage minuscule bordée par les falaises qui déclenchent la curiosité d'une vague ininterrompue de visiteurs. Point de sable mais des galets sur lesquels il faut évoluer avec précaution!

Départ d'un petit bateau pour une partie de pêche.

Les falaises...

Falaise d'aval. On dirait vraiment un éléphant qui boit (citation de Guy de Maupassant).

Falaise d'amont vue du GR 21.

Valleuse du Curé et aiguille de Belval.

Vues depuis la falaise d'aval. Le port d'Antifer à l'horizon.

Marée basse.

Bec au vent, insensible au vertige et au cheminement des touristes, un goëland se repose. Nous allons redescendre et en faire autant car les ascensions sont rudes.

Nous avons, avec Fée du logis, eu la chance début juin en faisant du hors piste en forêt, de surprendre la becquée donnée par un de ses parents à un jeune pic épeiche. Les appels impatients du petit nous ont permis de localiser le nid dans le tronc d'un chêne.

Ponctuée de cris, l'arrivée de l'adulte est bruyante mais l'approche est faite avec une méfiance extrême avec un accostage toujours éloigné du nid.

Le gavage du jeune affamé est rapide.

Il suffit maintenant d'attendre le prochain service!

L'affamé a entendu l'arrivée de son nourrisseur et le suit du regard!

Vite, calmons la fringale avant d'ameuter tout le quartier!

Quelques instants partagés...

Sur le moment nous avons eu la nette impression qu'il y avait une insistante invitation à sortir.

Alors! tu te décides oui ou non!

Le lendemain le jeune pic avait pris son envol.

Notre visite au Salon des véhicules anciens qui se tenait au parc aux Daims à CHATEAUVILLAIN ce dimanche nous replongea dans un passé pas si lointain où les véhicules à moteur faisait beaucoup rêver. Pour avoir grandi dans un village situé à cinq kilomètres de LANGRES et de plus traversé par la RN 19, j'ai vu, ainsi que mes copains, dans les années 50 et 60 défiler au moment des vacances toutes sortes de voitures que nous nous amusions à reconnaître ainsi que leurs provenances.

Les 75,62 et 59 composaient la majorité des immatriculations du défilé des voitures. Toutes les marques nous passaient devant les yeux et en plus les Belges avec leurs "grosses américaines" et surtout les Anglais avec leurs motos qui se suivaient par groupe de cinq ou six et qui étaient équipés de "side car". Le bruit produit par leur moteur nous résonnait dans le ventre. Nous restions ainsi durant des heures quand les travaux domestiques et moins intéressants nous en laissaient le temps.

Un grand nombre de voitures anciennes(environ trois cent) représentant les marques les plus diverses ou prestigieuses étaient présentes au salon. J'ai choisi quelques Citroën tant la marque a imposé son style ou ses innovations à l'automobile.

La C3 modèle de 1928 ( celle avec le "cul" pointu! pardon le coffre)

Plus massive la Rosalie UA de 1937.

La célèbre Traction avant, la voiture des FFI à la Libération et ensuite des gangsters.

Cette autre Traction mais pour un usage plus paisible.

Maintenant la 2CV que tout le monde connait. Si agréable à conduire mais en hiver la faiblesse de son chauffage rendait l'exercice plus pénible. Pour en avoir fait souvent l'expérience la Dedeuche passait partout, sur tout les mauvais chemins même ceux qui étaient très boueux. Il suffisait de tirer le starter,de descendre et de la pousser en tenant le volant d'une main, la première enclenchée et "roule ma poule".

Je termine cette mini saga Citroën par celle qui a beaucoup surpris à sa sortie: la DS 19. Le confort était au rendez-vous ainsi que tout ce que l'on aime dans une auto!

Et pour la fin de la fin une Bugatti, marque prestigieuse qu'il est inutile de présenter.

Très belle mécanique où la main de l'homme était présente et respectée.